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Aime-moi comme je suis

emma robert • oct. 19, 2021
Amour, amitiés, famille... Nous aspirons tous à être aimés tels que nous sommes, avec nos failles, nos peurs, nos forces et nos beautés. Aimer profondément une personne, dans son entièreté d'individu, n'est-ce pas là la forme d'amour la plus pure qu'il soit ? n'est-ce pas là la plus belle façon de toucher du doigt la magnificence de ce qu'on appelle "l'Amour" ? De contacter, en réalité, ce que nous sommes vraiment : des êtres d'amour inconditionnel qui sommes capables de voir la beauté en toute chose. Qui sommes capables de déceler la paix dans le chaos, le silence dans le bruit et de voir le calme profond jaillir de l'agitation de l'esprit. La beauté est en tout et ne répond à aucun critère de surface. Nous sommes cette beauté. Chaque étincelle de vie mérite que nous nous y penchions avec attention et humilité, chaque être vivant, quelque soit le règne auquel il appartienne : humain, animal, végétal, minéral, mérite notre émerveillement. Parce qu'il est la vie, parce-que nous sommes la vie. 
Nous allons aimer notre enfant avec ce regard-là, tout au long de son existence parce-qu'il est notre enfant, notre chair et qu'il fait, par conséquent, partie de notre notion d'amour inconditionnel. Quelques seront ses "erreurs", ses choix, ses particularités physiques, nous l'aimerons à jamais et sans conditions. Pourquoi en serait-il autrement des personnes qui entrent dans nos vies et que nous faisons le choix d'aimer ? 
L'autre n'est que le reflet de nous-mêmes, de nos peurs, de nos incompréhensions, de ce que l'on voudrait être ou ne pas être car nous sommes tous UN. Voyons-nous la beauté en nous ? Peut-être est-ce cela la question ? Car finalement, si nous nous aimons profondément nous-mêmes et que nous sommes conscients de notre propre grandeur, alors nous aimerons l'autre, les autres de la même manière. Sans conditions, sans jugements et sans limites.
Aujourd'hui, nous aimons une personne pour ce qu'elle est et demain, certains détails commencent à nous déranger... Aujourd'hui, nous vivons une amitié merveilleuse et intense avec une personne et demain, nous ne sommes plus à la hauteur de "ses attentes". Pourquoi ? Nous avons tous connu cela, dans un sens ou dans un autre. Et pour la plupart d'entre nous, cela a commencé le jour où nous avons réalisé que nos parents ne sont pas des héros mais simplement un homme et une femme qui ont fait ce qu'ils ont pu pour nous aimer de la meilleure manière qu'il soit, c'est le jour où nous sommes devenus adultes. Continuer de les aimer ou même les-en aimer davantage après avoir réalisé cela, est un des plus grands moments de la vie d'un être humain. Appliquons donc ceci à tous les êtres qui traversent notre vie.
L'amour se suffit à lui-même, il n'attend rien et n'épouse aucun critère d'aucune sorte. Il est. Simplement. Il nous oblige, si l'on est dans une volonté d'évolution, à travailler dur pour tenter d'être, un peu plus chaque jour, à sa hauteur. Mais comment le pourrions-nous ? Nous passons notre temps à essayer de le posséder, tout en continuant d'ignorer que nous faisons partie de lui et qu'il fait partie de nous, de ce que l'on est au plus profond de nos abysses. 
Aimer l'autre tel qu'il est, c'est s'aimer tel que l'on est et c'est là, une des plus magnifiques expériences de vie car primordiale. Une de celles dont si l'importance capitale est comprise et mise en lumière, sera une des plus libératrices qui soit, l'accès à une source d'amour infini, intarissable, celle qui fait de nous ce que nous sommes, des êtres Vivants, des êtres d'Amour Inconditionnel. 
par emma robert 21 mars, 2024
Dans l'histoire de toutes les civilisations et ce, depuis que le monde est monde, la femme et ses cycles sont intimement liés aux cycles lunaires. Ceux-ci se divisent en 4 périodes, comme pour la femme. D'ailleurs, l'étymologie du terme "menstruations", autre mot pour désigner les règles, vient de "mene", qui signifie "lune" en grec. "Avoir ses lunes" est donc une expression qui prend tout son sens ! L'importance accordée aux cycles féminins varie en fonction des cultures et des religions. Chez le peuple Cherokee, par exemple, les femmes menstruées sont considérées comme puissantes et sacrées. En Amérique du Sud, les femmes chamanes sont de préférence consultées pendant leur période de "lunes" car il est considéré que c'est à ce moment précis que leurs perceptions extra-sensorielles et leur pouvoir de guérison sont à leur apogée car elles sont en connexion directe avec leurs émotions profondes, l'énergie de l'Astre Lunaire et donc avec l'Esprit de leur propre Féminin Sacré. En Occident, en revanche, cette période de menstruations est souvent associée à un moment désagréable, entravant et émotionnellement difficile. Tout comme dans certains pays d'Afrique noire où les femmes sont mises à l'écart de la communauté. La Lune est associée à l'élément Eau, à la fertilité, le flux de la vie, l'énergie de création et de Mouvement. L'Eau sur laquelle l'énergie puissante de l'Astre a un impact incontestable, notamment sur les marées. Alors pourquoi n'y aurait-il pas une influence sur la vie du flux féminin ? Voyons quelques correspondances plus en détail : Comme le cycle féminin, s'étalant sur une période de 28 jours, le cycle lunaire, lui, dure 29 jours et se divise également en 4 phases : La Lune Croissante et la phase folliculaire : Le premier croissant marque la réapparition de l'Astre après la Nouvelle Lune. C'est un printemps, qui dure 7 jours pendant lesquels la nature vibre gaiement sous les vibrations heureuses de l'Astre et qu'on retrouve chez la femme lors de la période pré-ovulatoire. Les émotions sont belles, l'humeur est douce et lumineuse. La Pleine Lune et la phase ovulatoire : Phase de la Mère par excellence, cette période féminine est celle où le corps se prépare à accueillir une vie. Le coeur est rempli d'amour et d'empathie. Les énergies lunaires sont, elles aussi, propices à la reconnexion à la nature, au lien avec la Terre-Mère. La puissance féminine est à son apogée. La Lune Descendante et la phase lutéale : Dernier croissant de Lune, la Lune descendante amorce sa chute comme la phase lutéale met fin à la période fertile de la femme. Cette période du cycle féminin dite de "L'Enchanteresse" fait le deuil de l'absence de grossesse. Le taux d'hormones descend, l'irritabilité guette ! La Nouvelle Lune et la phase menstruelle : A la Nouvelle Lune, l'astre lunaire voit le début d'un nouveau cycle arriver, tout comme la période menstruelle marque le commencement du prochain cycle féminin. Appelée phase de "La Sorcière", les énergies lunaires et féminines sont éprouvées, les émotions jaillissantes. Vécu comme un moment difficile pour beaucoup d'entre nous, elle est aussi et surtout une merveilleuse opportunité de plonger au coeur de notre féminin profond et de laisser l'Univers s'exprimer en nous. Le Vivant est une interconnexion globale, sans limite et pure. La Déesse Lune raisonne et vibre dans le coeur et le corps de chaque femme. Accueillons cela comme un trésor inestimable, une résonance venue d'un autre Temps. Une occasion de plus de se (re)connecter à notre Féminin Sacré, à l'amour pour notre corps, à notre pouvoir créateur, à la joie, simplement, de vivre pleinement notre nature profonde, en Pleine Conscience.
par emma robert 19 oct., 2021
Amour, amitiés, famille... Nous aspirons tous à être aimés tels que nous sommes, avec nos failles, nos peurs, nos forces et nos beautés. Aimer profondément une personne, dans son entièreté d'individu, n'est-ce pas là la forme d'amour la plus pure qu'il soit ? n'est-ce pas là la plus belle façon de toucher du doigt la magnificence de ce qu'on appelle "l'Amour" ? De contacter, en réalité, ce que nous sommes vraiment : des êtres d'amour inconditionnel qui sommes capables de voir la beauté en toute chose. Qui sommes capables de déceler la paix dans le chaos, le silence dans le bruit et de voir le calme profond jaillir de l'agitation de l'esprit. La beauté est en tout et ne répond à aucun critère de surface. Nous sommes cette beauté. Chaque étincelle de vie mérite que nous nous y penchions avec attention et humilité, chaque être vivant, quelque soit le règne auquel il appartienne : humain, animal, végétal, minéral, mérite notre émerveillement. Parce qu'il est la vie, parce-que nous sommes la vie. Nous allons aimer notre enfant avec ce regard-là, tout au long de son existence parce-qu'il est notre enfant, notre chair et qu'il fait, par conséquent, partie de notre notion d'amour inconditionnel. Quelques seront ses "erreurs", ses choix, ses particularités physiques, nous l'aimerons à jamais et sans conditions. Pourquoi en serait-il autrement des personnes qui entrent dans nos vies et que nous faisons le choix d'aimer ? L'autre n'est que le reflet de nous-mêmes, de nos peurs, de nos incompréhensions, de ce que l'on voudrait être ou ne pas être car nous sommes tous UN. Voyons-nous la beauté en nous ? Peut-être est-ce cela la question ? Car finalement, si nous nous aimons profondément nous-mêmes et que nous sommes conscients de notre propre grandeur, alors nous aimerons l'autre, les autres de la même manière. Sans conditions, sans jugements et sans limites. Aujourd'hui, nous aimons une personne pour ce qu'elle est et demain, certains détails commencent à nous déranger... Aujourd'hui, nous vivons une amitié merveilleuse et intense avec une personne et demain, nous ne sommes plus à la hauteur de "ses attentes". Pourquoi ? Nous avons tous connu cela, dans un sens ou dans un autre. Et pour la plupart d'entre nous, cela a commencé le jour où nous avons réalisé que nos parents ne sont pas des héros mais simplement un homme et une femme qui ont fait ce qu'ils ont pu pour nous aimer de la meilleure manière qu'il soit, c'est le jour où nous sommes devenus adultes. Continuer de les aimer ou même les-en aimer davantage après avoir réalisé cela, est un des plus grands moments de la vie d'un être humain. Appliquons donc ceci à tous les êtres qui traversent notre vie. L'amour se suffit à lui-même, il n'attend rien et n'épouse aucun critère d'aucune sorte. Il est. Simplement. Il nous oblige, si l'on est dans une volonté d'évolution, à travailler dur pour tenter d'être, un peu plus chaque jour, à sa hauteur. Mais comment le pourrions-nous ? Nous passons notre temps à essayer de le posséder, tout en continuant d'ignorer que nous faisons partie de lui et qu'il fait partie de nous, de ce que l'on est au plus profond de nos abysses. Aimer l'autre tel qu'il est, c'est s'aimer tel que l'on est et c'est là, une des plus magnifiques expériences de vie car primordiale. Une de celles dont si l'importance capitale est comprise et mise en lumière, sera une des plus libératrices qui soit, l'accès à une source d'amour infini, intarissable, celle qui fait de nous ce que nous sommes, des êtres Vivants, des êtres d'Amour Inconditionnel.
par Emma Robert 08 avr., 2020
Dès lors qu’un animal entre dans notre vie, il a à cœur de nous aimer et de nous protéger. Son seul but est d’être là pour nous et nous rendre heureux. Tout au long de sa vie, il mettra toute son énergie à combler nos demandes, au mieux de ce qu’il pourra, parce-qu’il nous aime et parce-qu’il a besoin de notre amour. Pour aller encore plus loin, parce-que nous sommes son monde, sa famille et que sa mission de vie est de nous aimer. Il nous sauvera la vie si nécessaire, nous défendra contre d’éventuels dangers auxquels nous serons confrontés, il pourra parcourir le monde pour nous retrouver, et tout cela, parce-qu’il nous aime. Si nous laissons parler notre cœur, nous nous souviendrons que nous sommes Vivants, faisant partie du monde et connectés à toutes les formes de vie, alors, nous pourrons prendre conscience de cela et apprécier complètement cette vision des choses. Nous pourrons alors voir dans les yeux de l’animal avec lequel nous vivons, qui il est, son âme et son amour inconditionnel pour nous, pour la vie. Nous pourrons alors comprendre ses messages, savoir quand il a froid, quand il a peur, quand il a besoin de notre main, quand il a mal, quand il est triste, quand il est en paix. Nos animaux nous aident à nous rappeler qui nous sommes, nous mettent face à nos peurs, nous battent à nu, mais c’est aussi ça l’amour, faire en sorte que ceux qu’on aime grandissent, comprennent pour être en phase avec ce qu’ils sont et par conséquent, être plus heureux. Ils prennent tout de nous, nos manquements, nos humeurs, notre tendresse, nos violences, ils prennent tout, ne rejettent rien, acceptent, et lorsque nous nous perdons, ils tiennent bon pour deux, ils nous comprennent, comme un parent qui pose son regard bienveillant sur son enfant perdu et attend, ainsi, son réveil de conscience. Ils savent ce que nous ressentons, apaisent nos peurs, nous font rire pour nous faire oublier nos chagrins, parlent à nos âmes, nous soignent, nous reconnectent à nous-mêmes. Ils sont la porte ouverte sur le Mystère de la vie, et nous invitent, chaque instant, à y découvrir les magnificences de notre monde. Ils sont l’instinct même et dénués de vices, ils sont la sagesse, ils sont la beauté, ils sont la vie. Ils sont nos amours, nos amis, nos soutiens, aimons-les du plus profond de notre cœur, prenons soin d’eux, étreignons-les, chaque jour, chaque heure, chaque minute, jusqu’à ne plus rien ressentir d’autre que les battements de nos cœurs chanter à l’unisson, jusqu’à ne plus voir que l’amour à travers leurs yeux et alors, pleurer de joie… Ils sont une des plus grandes merveilles de ce monde, un trésor inestimable.
par emma robert 02 avr., 2020
Peur, tristesse, colère...des émotions connues et ressenties par chacun d'entre nous, tout au long de notre existence. Et pourtant, la plupart du temps, nous les rejetons, aussi loin de nous que possible, associant leur nature au négatif, puisqu'elles nous procurent, au mieux, un sentiment d'inconfort, au pire, nous donnent l'impression d'entraver notre chemin, nos prises de décisions, notre liberté, notre joie de vivre...Elles font pourtant partie de nous et sont les pierres angulaires de notre apprentissage de vie. En médecine holistique, l'être vivant est pris dans son entièreté, avec tous ses corps (physique, émotionnel, mental, spirituel). Les uns agissant sur et avec les autres. Le Docteur Edward Bach, père des Fleurs de Bach, Médecin visionnaire a fait le lien entre les émotions et la santé d’un individu. Il parle notamment de nombreuses expériences ayant été faites en Europe et sur le continent américain au début du 20ème siècle où des malades ayant contracté un virus comme la grippe par exemple, ont été mis en contact plusieurs jours durant avec d’autres personnes non malades. Parmi ces-dernières, certaines ont contracté le virus, d’autres non. Pourquoi ? Le virus n’est pas censé « choisir » un hôte ! Sa nature est de vivre et de se propager le plus possible. Alors pourquoi certains tombent malades et d’autres non ? Nous l’avons tous constaté dans notre entourage : une personne qui aura opté pour un mode de vie sain pourra contracter une maladie sérieuse alors qu’une autre qui fume 2 paquets de cigarettes par jour et mange du sucre à profusion ne sera inquiétée de rien ! Le déséquilibre dont découlent le dysfonctionnement physique et donc la maladie ne trouve pas forcément sa source dans les facteurs environnementaux ou d’hygiène de vie. Il peut être aussi dû à des émotions refoulées, enfouies, qui ont stagné et ont créée, au fur et à mesure du temps, des nœuds qui se sont eux-mêmes matérialisés au niveau du corps physique. Quelques exemples tout simples : Pourquoi avons-nous mal au ventre avant de passer un examen important ? de monter sur scène ? Pourquoi avons-nous les mains moites quand on a peur ? On sait aussi que l’état de stress d’un individu a un impact direct et néfaste sur le bon fonctionnement de son système immunitaire, donc plus nous sommes stressés, moins nous ne sommes en bonne santé car moins protégés. Le lien existe donc entre nos émotions et notre santé physique, à petite échelle comme dans les exemples cités ci-dessus, et à plus grande importance également. Il existe, dans certaines parties du monde, des peuples qui ne connaissent pas la maladie. Leur explication est qu’ils se laissent traverser par leurs émotions, les accueillent avec amour et bienveillance, les vivent, les expriment, comme des enfants, pour ensuite, les laisser partir. Ils crient quand ils sont en colère ou qu'ils ont peur, ils pleurent quand ils ont du chagrin, sans retenue et sans honte. Ainsi, elles ne peuvent s’ancrer et engendrer de déséquilibres. Dans la culture occidentale, nous apprenons très vite aux enfants à ne pas parler, pleurer ou rire trop fort. Nous sommes donc passé maîtres dans l’art de contrôler notre flux émotionnel, en tout cas nous en avons la volonté ! Sauf qu’une émotion n’est pas faite pour stagner, elle appartient au mouvement. Nous sommes faits pour être en mouvement, nous sommes faits de mouvements, nos fluides circulent, nos os respirent, nos émotions doivent vivre ! en kinésiologie, nous disons que tout ce qui ne s’exprime pas, s’imprime, tout est dit ! Alors prenons soin de notre corps en lui donnant amour et bonne nourriture et accueillons nos émotions, écoutons ce qu’elles ont à nous dire, laissons-les s’exprimer pour qu’elles puissent vivre et enfin s’envoler pour faire de notre corps un havre de paix et de santé durable.
par emma robert 12 janv., 2020
La gémellité fait partie des magnifiques mystères de la vie… Il est souvent question de connexion particulière, de relation fraternelle unique entre jumeaux. Partager le même ventre, au même moment, grandir et se préparer au monde ensemble… Les embryons communiquent, ils sont 2 et 1 à la fois. Lorsqu'ils naissent et grandissent ensemble, il n'est pas rare de les voir partager les mêmes passions, choisir les mêmes chemins de vie, communiquer de manière intuitive, voire télépathique ! Cependant, environ 1 embryon sur 10 a un jumeau qui disparaît au cours de la grossesse, souvent, au bout de 5 ou 6 semaines. Le bébé qui est resté va naître, entouré d'amour, faisant le bonheur de tout son entourage. Il va grandir et apprendre à appréhender le monde. Il va ensuite construire sa vie et ses bonheurs mais quelque chose, tout au fond de lui, gronde et pleure. Des sentiments comme l'insécurité, la peur, le manque, la tristesse, sans qu'il comprenne pourquoi, vont commencer à se manifester. Des difficultés à prendre sa place dans le monde professionnel, des problèmes relationnels dans la vie amoureuse peuvent s'installer. C'est ce que Claude Imbert, docteur en médecine et pionnière en la matière, appelle le "Syndrome du jumeau perdu". Bien sûr, tous les jumeaux survivants ne développeront pas les mêmes difficultés au cours de leur vie. "L’ancrage dans une famille aimante et soudée ou, au contraire, les traumatismes ultérieurs qui peuvent s’ajouter, jouent un rôle considérable dans la manière dont va évoluer le jumeau survivant" , précise Alfred Austermann. Ce psychothérapeute allemand s’est penché sur le sujet en observant certaines impasses thérapeutiques dans sa pratique clinique. "Je pense notamment à une personne bloquée dans sa trajectoire. Aucun domaine de sa vie n’était satisfaisant et je n’arrivais pas à repérer l’origine de ses difficultés. C’est une thérapie en constellations familiales qui a permis de mettre en évidence la perte gémellaire vécue au cours de la vie intra-utérine" , raconte le psychothérapeute. Même si de nombreux adultes souffrent de ce syndrome encore tabou, sans le savoir, il existe des solutions pour trouver les réponses et se libérer de ce sentiment d'incomplétude : la sophro-analyse prénatale, les thérapies en constellations familiales, la kinésiologie... Lorsque l'on a mis en lumière ce phénomène dans notre vie, lorsque l'on a la chance d'avoir réalisé que ce sentiment de manque vient de la perte de ce jumeau, le chagrin jusque-là ressenti se transforme en un merveilleux cadeau car, à ce moment précis, nous réalisons, qu'en réalité, nous n'avons jamais été seuls, qu'"il" ou "elle" a toujours été à nos côtés, et qu'il s'agit là, des plus belles retrouvailles qu'il nous ait été donné de vivre. http://www.claude-imbert.com/accueil.html "Le syndrome du jumeau perdu" / Alfred Austermann
Photographie Soin et vibration - Kinesiologie
09 août, 2019
Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi une musique pouvait vous exalter ou vous faire pleurer ? Pourquoi un certain type de son pouvait vous irriter ou, au contraire, vous apaiser ? Peut-être bien parce-que le son est vibration, que la vibration, c'est le vivant, et que nous faisons partie intégrante du vivant, tout comme les animaux, les végétaux et les minéraux...
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